sur le tas de bois enflammé sur le ghat.
Mais Arun ne voit rien et ne sent rien, bien sur.
Ses cendres virevoltent au-dessus de nos têtes.
Son âme a sans doute déjà trouvé son salut.
A Varanasi, jour et nuit, les ghats sont sur les charbons ardents.
Les familles (lire les hommes) incinerent leurs chers sur les quais
avec du bois de santal acheté sur place à grands frais,
et envoient les cendres et restes dans le Gange
afin de briser le cycle des réincarnations
et leur offrir le Nirvana.
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